Un coup marketing réussi
Qu’il soit bon ou pas, le Vin de Merde a d’ores et déjà rempli sa mission « officielle », celle de faire parler de lui.
Depuis deux ans, Jean-Marc Speziale détrône allègrement tous ses collègues du Languedoc au box office de la médiatisation, et cela dure. En ce qui concerne la mission « officieuse » de l’opération, entendez là le « remplissage de porte-monnaie », la coopérative reste très discrète, avouant cependant que son chiffre d’affaire a fortement augmenté (on n’en doutait pas). Décliné en rouge, blanc et rosé, le Vin de Merde ratisse large et entre ceux qui veulent simplement goûter le phénomène et ceux qui optent pour la blague de mauvais goût (dans tous les sens du terme ?), la demande explose.
N’empêche que, les vignerons du Vin de Merde n’auraient jamais pu espérer un tel succès sans cette jolie pirouette commerciale. Mais au fait, on en connait d’autres, qui ont su tirer habilement partie de leurs cépages disgracieux..! En 1951, une association de producteurs Rhône-Alpins obtenaient une dérogation pour pouvoir commercialiser leurs bouteilles un mois avant la date légale d’ouverture de saison, alors en vigueur pour toute nouvelle production de vin. C’est le fameux… Beaujolais Nouveau! Une tradition désormais solidement ancrée dans l’esprit de Bacchus, qui continue de faire la gloire de ses exploitants.
Qu’il soit bon ou pas, le Vin de Merde a d’ores et déjà rempli sa mission « officielle », celle de faire parler de lui.
Depuis deux ans, Jean-Marc Speziale détrône allègrement tous ses collègues du Languedoc au box office de la médiatisation, et cela dure. En ce qui concerne la mission « officieuse » de l’opération, entendez là le « remplissage de porte-monnaie », la coopérative reste très discrète, avouant cependant que son chiffre d’affaire a fortement augmenté (on n’en doutait pas). Décliné en rouge, blanc et rosé, le Vin de Merde ratisse large et entre ceux qui veulent simplement goûter le phénomène et ceux qui optent pour la blague de mauvais goût (dans tous les sens du terme ?), la demande explose.
N’empêche que, les vignerons du Vin de Merde n’auraient jamais pu espérer un tel succès sans cette jolie pirouette commerciale. Mais au fait, on en connait d’autres, qui ont su tirer habilement partie de leurs cépages disgracieux..! En 1951, une association de producteurs Rhône-Alpins obtenaient une dérogation pour pouvoir commercialiser leurs bouteilles un mois avant la date légale d’ouverture de saison, alors en vigueur pour toute nouvelle production de vin. C’est le fameux… Beaujolais Nouveau! Une tradition désormais solidement ancrée dans l’esprit de Bacchus, qui continue de faire la gloire de ses exploitants.
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